Mon amant me fait tourner des films pornos (Les confessions érotiques t. 356)

Jolie étudiante, Elodie, un soir de rut, se laisse embarquer par Dave à la terrasse d’un bistrot ; il la saute d’emblée dans les toilettes, puis dans un jardin public.

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confession erotique

A sa grande surprise, Elodie se découvre exhibitionniste : ça l’excite horriblement d’être vue en train de se livrer aux jeux de la chair. Elle ne tarde pas à se livrer en compagnie de son nouvel amant à des jeux à trois, et accepte d’être filmée pendant ses ébats. Elle peut donc se voir telle que les autres la voient ; c’est un bouleversement.

 

Plus question pour elle de se contenter de ses anciens plaisirs. Plus on est de fous libidineux autour d’elle et plus elle prend son pied.

 

Faut-il s’étonner qu’après un séjour au Cap d’Agde, dans un hôtel naturiste, elle en vienne à tourner « un bout d’essai » dans un film porno ? Après ce « bout d’essai », il en viendra d’autres, Elodie va parcourir toute la gamme des plaisirs de la chair… Même les plus « bizarres »… Vous avez dit bizarre ? Comme c’est bizarre.

De jeune ingénue à nymphomane débauchée, il n’y a qu’un pas !

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À la suite d’une annonce, la jeune Elodie se retrouve stagiaire dans un étrange centre de vacances hippiques. Désarçonnée au début par la trouble atmosphère qui règne au  » domaine « , elle se retrouve bientôt la victime consentante et ravie de ses sadiques employeurs… Jusqu’où descendra-t-elle dans la perversion ? Vous le saurez en lisant sa confession.

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Quentin Tarantino, un cinéma déchaîné (édition augmentée)

Sorti début 2016, Les Huit Salopards, huitième long métrage de Quentin Tarantino, renoue avec la logique du huis-clos de son premier film, Reservoir Dogs, et se mesure à nouveau au western, trois ans après Django Unchained. Les deux mots composant ce titre indiquaient un tiraillement entre dette et liberté. Le premier a une résonance cinéphile. Le second renvoie à une histoire d’esclave affranchi. On pouvait toutefois entendre déchaîné comme une invitation à parler de Tarantino différemment. Une invitation à libérer son cinéma des chaînes de la cinéphilie et de la citation pour l’aborder enfin de front : comme un art du recommencement à neuf et non de la reprise. C’est en tout cas le pari de cet ouvrage collectif, qui reparaît aujourd’hui dans une nouvelle édition augmentée, à l’occasion de la sortie des Huit Salopards. Film par film, des critiques de cinéma, des philosophes et des anthropologues décrivent l’évolution et la nouveauté formelle, mais aussi historique et politique, de l’un des plus grands cinéastes de ces vingt dernières années.