Mon amant me fait tourner des films pornos (Les confessions érotiques t. 356)

Jolie étudiante, Elodie, un soir de rut, se laisse embarquer par Dave à la terrasse d’un bistrot ; il la saute d’emblée dans les toilettes, puis dans un jardin public.

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confession erotique

A sa grande surprise, Elodie se découvre exhibitionniste : ça l’excite horriblement d’être vue en train de se livrer aux jeux de la chair. Elle ne tarde pas à se livrer en compagnie de son nouvel amant à des jeux à trois, et accepte d’être filmée pendant ses ébats. Elle peut donc se voir telle que les autres la voient ; c’est un bouleversement.

 

Plus question pour elle de se contenter de ses anciens plaisirs. Plus on est de fous libidineux autour d’elle et plus elle prend son pied.

 

Faut-il s’étonner qu’après un séjour au Cap d’Agde, dans un hôtel naturiste, elle en vienne à tourner « un bout d’essai » dans un film porno ? Après ce « bout d’essai », il en viendra d’autres, Elodie va parcourir toute la gamme des plaisirs de la chair… Même les plus « bizarres »… Vous avez dit bizarre ? Comme c’est bizarre.

De jeune ingénue à nymphomane débauchée, il n’y a qu’un pas !

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À la suite d’une annonce, la jeune Elodie se retrouve stagiaire dans un étrange centre de vacances hippiques. Désarçonnée au début par la trouble atmosphère qui règne au  » domaine « , elle se retrouve bientôt la victime consentante et ravie de ses sadiques employeurs… Jusqu’où descendra-t-elle dans la perversion ? Vous le saurez en lisant sa confession.

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Comédie, mode d’emploi: Entretien

Comédie, mode d’emploi est le premier livre consacré au nouveau roi de la comédie américaine, Judd Apatow. Il est composé d’un long entretien précédé d’une « Introduction à la vie comique », par E. Burdeau.

Les Conquérants d’un nouveau monde. Essai sur le cinéma hollywoodien

Publiée à l’orée des années 1980, la première édition de cet ouvrage se distinguait déjà. La présence massive des films américains sur les écrans du monde entier, leurs liens avec l’argent et la publicité, leur fonction idéologique, leur popularité aussi avaient longtemps entraîné, de la part de nombreux critiques, une position de défense et de suspicion. S’arrêtant sur l’impact que ce cinéma avait eu sur la formation des grands réalisateurs européens, Michel Ciment dévoilait les ingrédients du succès : la préoccupation constante d’un rapport avec les spectateurs, une attention de chaque instant à la direction d’acteurs, un équilibre enfin entre la plastique et la dynamique, entre le cadre et le montage – conjointement donc, le mouvement et l’image. Il s’attachait à certains thèmes : l’influence des Viennois (von Stroheim, von Sternberg, Wilder) ; la notion d’'auteur' ; le western.

Aujourd’hui, dans ces 37 essais, il élargit plus encore la réflexion, s’arrêtant au système hollywoodien. Même pris dans la tourmente de l’Histoire, celui-ci n’a cessé de faire naître tant de chefs-d’œuvre qu’on ne peut que s’interroger sur cette fabuleuse moisson. Face aux contraintes du système, les réalisateurs ont déployé ruse, ténacité, courage pour véritablement devenir les conquérants d’un nouveau monde, les bâtisseurs d’une industrie qui permit à leur art de s’épanouir.