Ma fille, Marie (Documents)

Je t’aime, ma fille chérie. Je t’aime à jamais.
Peut-être parviendrai-je un jour à ne plus être obsédée par les horribles images de la fin de ta vie.
J’arriverai à penser à toi avec douceur, et à te sourire.
Peut-être.
Je ne suis sûre de rien.
N. T.